La technique

estampage - Atelier Saint André Perrin

Sylvie a mis au point une production de faïence par estampage dans des moules en plâtre confectionnés à partir de modèles qu’elle a choisis ou créés.

Les argiles estampées sont colorées aux oxydes avec lesquels elle peut obtenir toute une gamme de teintes. L’Atelier compose ses mélanges de terres à dominante de bleus, de verts, d’ocres, de jaunes ou de gris. Ces strates de terre mêlées entre elles donnent des dessins sinueux et plus ou moins mouvementés ne dépendant pas seulement des hasards des mélanges, et rendant chaque pièce unique.

estampage

Sylvie a mis au point une production par estampage dans des moules en plâtre confectionnés à partir de modèles qu’elle a choisis ou créés.

Les terres estampées sont colorées aux oxydes avec lesquels elle peut obtenir toute une gamme de teintes. L’Atelier compose ses mélanges de terres à dominante de bleus, de verts, d’ocres, de jaunes ou de gris. Ces strates de terre mêlées entre elles donnent des dessins sinueux et plus ou moins mouvementés ne dépendant pas seulement des hasards des mélanges, et rendant chaque pièce unique.

Une relative maîtrise des couleurs se fait au malaxage de la motte, tandis que le rythme et la respiration du dessin naissent de l’étalement final de la plaque au rouleau.

L’Atelier explore aussi d’autres techniques tel que le Nériage (conçu ici comme un travail de motifs où les terres sont accolées entre elles et produisent une mise en scène plus organisée), ou un travail d’incrustations et d’empreintes (collections Plumes ou Coquillages).

L’estampage, tel qu’il est pratiqué à l’Atelier, se révèle une technique lente et minutieuse. De la confection des couleurs jusqu’aux cuissons, l’Atelier réalise de nombreuses étapes qui sont autant de gestes.

Une fois appliquée dans le moule et légèrement durcie, la terre est grattée pour l’amincir, puis longuement poncée à la laine d’acier et mise au four une première fois à 980°C avant l’émaillage d’une couverte transparente et une seconde cuisson.

Une relative maîtrise des couleurs se fait au malaxage de la motte, tandis que le rythme et la respiration du dessin naissent de l’étalement final de la plaque au rouleau.

L’Atelier explore aussi d’autres techniques tel que le Nériage (conçu ici comme un travail de motifs où les terres sont accolées entre elles et produisent une mise en scène plus organisée), ou un travail d’incrustations et d’empreintes (collections Plumes ou Coquillages).

L’estampage, tel qu’il est pratiqué à l’Atelier, se révèle une technique lente et minutieuse. De la confection des couleurs jusqu’aux cuissons, l’Atelier réalise de nombreuses étapes qui sont autant de gestes.

Une fois appliquée dans le moule et légèrement durcie, la terre est grattée pour l’amincir, puis longuement poncée à la laine d’acier et mise au four une première fois à 980°C avant l’émaillage d’une couverte transparente et une seconde cuisson.