Une relative maîtrise des couleurs se fait au malaxage de la motte, tandis que le rythme et la respiration du dessin naissent de l’étalement final de la plaque au rouleau.
L’Atelier explore aussi d’autres techniques tel que le Nériage (conçu ici comme un travail de motifs où les terres sont accolées entre elles et produisent une mise en scène plus organisée), ou un travail d’incrustations et d’empreintes (collections Plumes ou Coquillages).
L’estampage, tel qu’il est pratiqué à l’Atelier, se révèle une technique lente et minutieuse. De la confection des couleurs jusqu’aux cuissons, l’Atelier réalise de nombreuses étapes qui sont autant de gestes.
Une fois appliquée dans le moule et légèrement durcie, la terre est grattée pour l’amincir, puis longuement poncée à la laine d’acier et mise au four une première fois à 980°C avant l’émaillage d’une couverte transparente et une seconde cuisson.